7 septembre 2004
Onirique-fiction
Je ballade mes mains sur son corps tendu.
Je commence doucement par son cou, je sens sous mes doigts ses muscles noués, que je masse doucement pour les détendre.
Puis, je descends un peu plus bas, sur ses épaules, mes dix extrémités s'arrondissants en gestes amples et précis.
Puis, du bout des pouces je repère les lombaires. Eux ont droit à un traitement spécial, mes doigts ondulent en pressant à peine, et descendent d'entre les omoplates vers le creux des reins.
Je masse ensuite chaque fesses, doucement, et je me guide aux soupirs de la fille.Puis les cuisses, l'une après l'autre, je ne ressends plus aucune tension dans le corps que je carresse.
Mes main s'attardent ensuite sur les mollets, lentement, suivent ce joli galbe qui m'avait tant marqué.
J'arrive enfin aux pieds. De jolis petits pieds, je me sens électrisé et mes gestes trahissent cet état, les soupirs deviennent râles, à la limite du plaisir.
Puis ma langue vient remplacer mes mains, elle remonte la plante des pieds, suis le galbe du mollet, sur une peau parfaitement épilée du matin, traverse le creux du genou, se trouve à la limite de l'intérieur des cuisses et est génératrice de frissons et de soupirs.
Après avoir gravi la colline de ses fesses, ma bouche remplace ma langue et mes baisers remontent jusqu'à son cou.
Elle se retourne, Dieu que j'aime ce regard, nous nous étraignons.
Le réveil sonne alors, je n'étreint que ma couette et mon oreiller est humide.
Je commence doucement par son cou, je sens sous mes doigts ses muscles noués, que je masse doucement pour les détendre.
Puis, je descends un peu plus bas, sur ses épaules, mes dix extrémités s'arrondissants en gestes amples et précis.
Puis, du bout des pouces je repère les lombaires. Eux ont droit à un traitement spécial, mes doigts ondulent en pressant à peine, et descendent d'entre les omoplates vers le creux des reins.
Je masse ensuite chaque fesses, doucement, et je me guide aux soupirs de la fille.Puis les cuisses, l'une après l'autre, je ne ressends plus aucune tension dans le corps que je carresse.
Mes main s'attardent ensuite sur les mollets, lentement, suivent ce joli galbe qui m'avait tant marqué.
J'arrive enfin aux pieds. De jolis petits pieds, je me sens électrisé et mes gestes trahissent cet état, les soupirs deviennent râles, à la limite du plaisir.
Puis ma langue vient remplacer mes mains, elle remonte la plante des pieds, suis le galbe du mollet, sur une peau parfaitement épilée du matin, traverse le creux du genou, se trouve à la limite de l'intérieur des cuisses et est génératrice de frissons et de soupirs.
Après avoir gravi la colline de ses fesses, ma bouche remplace ma langue et mes baisers remontent jusqu'à son cou.
Elle se retourne, Dieu que j'aime ce regard, nous nous étraignons.
Le réveil sonne alors, je n'étreint que ma couette et mon oreiller est humide.
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)
Publicité
Commentaires
A