C'est qui qui ?
17 septembre 2011 !
On va se marier !!!!!!!
J'ai parfois, comme ça, l'espace d'un moment, l'impression -ou pas - qu'on me fait des avances. Ca ne dure pas, et tu sais pourquoi ?
Parce qu'à chaque fois que je suis dans mon lit je pense à toi, chaque fois que j'ai froid, je pense à ton étreinte, chaque fois que je pense à ton corps bouillant, je frémis d'impatience de sentir ton souffle dans mon cou....
Dès que je doute, même si ce qu'on me propose est très intéressant, c'est simple, je pense à nos premiers ébats, à ton premier "je t'aime", ce lui où tu as rougi parce que tu n'avais pas l'intention de le dire, je pense à ton sourire, tes blagues et tout ce que tu m'offres chaque jour depuis bientôt trois ans. Alors, je ne doute plus.
Et puis, mieux vaut un bon ami qu'un amant de passage ? Je préfère m'intéresser à lui comme cela, même si sa proposition était claire, je suis fière de l'avoir pour ami, car il est beau et à mon sens, très galant et généreux. Mais jamais, jamais il ne te remplacera.
Et bien oui, je suis jalouse, mais merde à la fin, si t'étais pas aussi sexy, ça n'arriverait pas.
Puis, faut dire que quand tu pars trois jours à Marrakech sans moi mais avec plein d'autres filles, c'est pas rassurant...
Bientôt l'emménagement, méfie-toi, j'aurais le grapin prêt à bondir à tout moment, héhé.
Il avait mis son parfum préféré. Non pas qu'il avait pour habitude de se parfumer, il ne mettait jamais de parfum.
Pourtant,
il portait son parfum préféré. Subtil, qui ne vous prenait jamais à la
gorge et que seules les personnes qui avait l'habitude de cette senteur
pouvaient remarquer. Il portait son parfum préféré mais ce n'était
pourtant jamais le même. Cela dépendait. Parfois il était plus sucré,
d'autres fois plus piquant, mais il était vrai que le plus souvent il
était épicé. Il sentait aussi le chaud, pas le mauvais chaud, plutôt la
chaleur agréable, celle dans laquelle on se niche, on s'apaise.
Il
portait son parfum préféré et il vit qu'elle l'avait sentie. Il la
regardat droit dans les yeux, comme il le faisait toujours avec elles.
Il la regardat et fit sourire ses yeux, les coins de sa bouche se
relevant imperceptiblement. Mais il savait qu'elle le verrait car elle
avait sentie son parfum.
Quand elle se leva pour se préparer à
descendre du wagon, il décidat de la suivre. Ca n'etait pas son arrêt
et il s'en fichait. Il revenait d'un endroi et pourquoi n'irait-il pas
ailleurs ? Il avait pris la journée et avait trouvé son parfum tôt le
matin, il était partit, rafraîchit. Il descendit juste derrière elle.
Elle se retourna et il lui sourit, plus ouvertement.
Quelques mots avaient suffit, pas besoin de plus quand le parfum avait agit.
Quelques dizaines de minutes après il se reparfumait.
Quelques heures après il rentrait. Il portait son parfum et elle aussi.
Mais ce n'était qu'un salopard. Car lui savait et elle non.
Il portait son parfum et elle portait le sien, ainsi que sa maladie.
Je comprends que tu envoie chier les gens qui t'emmerde, mais je ne comprends pas que tu fasse la même chose avec ceux qui s'inquiètent pour toi.
Tout à l'heure j'ai raccroché parce que j'en ai eu marre. Je t'appelle parce que je sait que tu ne vas pas bien, j'essaie de te changer les idées, et toi tu m'envoie chier comme c'est pas permis, prenant des prétextes à la con pour ça. C'est pas en continuant à faire ce genre de chose que tu te sentiras mieux.
Je t'en ai déjà parlé mais tu refuse de m'écouter.
Quand tu m'oublies, c'est comme si on m'abandonnait.
C'est moi.
Oui, c'est moi : la fille qui n'aime pas les couples, la fille qui n'aime pas qu'on se bécote en public, celle qui est génée à la moindre petite main baladeuse, qui guette les environs pour voir si il n'y a pas une fille comme moi qui nous observe nous embrasser.
C'est moi.
En fait, c'est moi. Vraiment, hein, je dis pas ça pour déconner ! La fille qui va au restaurant avec son amoureux, la fille qui plaisante et qui embrasse à pleine bouche.
C'est moi. C'est moi ? Une bague ? Pardon ?
Comment dois-je réagir ?
Ce que tu m'as dit hier soir m'a fait tout chaud à l'intérieur, je sais pourquoi maintenant et c'est pour ça que j'en suis sûr.
J'ai vraiment envie qu'on parte.
I'm sorry girl for all the bad things i've said to you, i really miss you and sometimes it's really hard. It's hard to made the difference between the stress at work and the rest off my life, 'cause the stress do not leave me when i'm off work. And that's why sometimes i'm mean with you, but i don't want to.
So, i appologize a dozen time, 'cause you're the one i love, 'cause you make me more happy than sad, 'cause i like to hug you, to comfort you.
"You are my sunshine, my only sunshine..."