12 novembre 2004
Moins d'une semaine.
Moins d'une semaine avant d'expulser le trop plein de calîn que j'ai emmagasiné depuis quoi, un mois? Deux mois?
Je ne sais plus, ça paraît si loin, c'était si court et si intense, si peu et à la fois tant(De rien à ce que j'ai eu ça paraît beaucoup).
Oui, je ne suis jamais content, j'ai choisi de vivre ma sexualité ainsi, je me suis soumis à l'aléatoire des rencontres. Mais bon, mon pendant à la tendresse et trop souvent loin d'être rassasié, c'est un fait. Je suis peut être trop sentimental comme garçon? Oui et non, si j'étais trop sentimental, je ne me comporterais pas ainsi, mais si je ne l'était pas du tout, je serais pas comme ça non plus. Je ne sais pas, trop sensible par certains côtés et trop rude et gauche par d'autres, c'est très difficile de se définir soi-même. On n'est jamais assez objectif et quand on se "relit", on se dit "non non, je ne suis pas ça" alors qu'on approchait de la vérité.
Que pourrais-je faire? Commencer à "prospecter"? Tenter de me mettre en avant auprès de certaines filles, me montrer comme étant quelqu'un de dispo, d'ouvert et de libre, une sorte de bouche-trou "tendresse-sexe" mais sans plus? Non, j'aurais vraiment du mal. Déjà, quand j'ai tenté naguère de devenir deux, approcher un fille dont j'étais amoureux et ensuite lui avouer, c'étais bien loin de ma porté. Trop timide, trop peur de la veste, du vent, du rateau. Je préfère encore être à la merci de l'aléatoire mais profiter pleinement de mes petits moments plutôt que d'être à la merci de l'autre, de sa vision de moi, de ma vision d'elle.
J'ai trop souffert d'avant et là, j'ai souffert parfois, mais pas autant, des souffrances que j'ai vite oublié, qui sont passées et enterrées, celles d'avant, je les portes encore et se sont elles qui me mouillent les yeux quand je dors.
Je ne sais plus, ça paraît si loin, c'était si court et si intense, si peu et à la fois tant(De rien à ce que j'ai eu ça paraît beaucoup).
Oui, je ne suis jamais content, j'ai choisi de vivre ma sexualité ainsi, je me suis soumis à l'aléatoire des rencontres. Mais bon, mon pendant à la tendresse et trop souvent loin d'être rassasié, c'est un fait. Je suis peut être trop sentimental comme garçon? Oui et non, si j'étais trop sentimental, je ne me comporterais pas ainsi, mais si je ne l'était pas du tout, je serais pas comme ça non plus. Je ne sais pas, trop sensible par certains côtés et trop rude et gauche par d'autres, c'est très difficile de se définir soi-même. On n'est jamais assez objectif et quand on se "relit", on se dit "non non, je ne suis pas ça" alors qu'on approchait de la vérité.
Que pourrais-je faire? Commencer à "prospecter"? Tenter de me mettre en avant auprès de certaines filles, me montrer comme étant quelqu'un de dispo, d'ouvert et de libre, une sorte de bouche-trou "tendresse-sexe" mais sans plus? Non, j'aurais vraiment du mal. Déjà, quand j'ai tenté naguère de devenir deux, approcher un fille dont j'étais amoureux et ensuite lui avouer, c'étais bien loin de ma porté. Trop timide, trop peur de la veste, du vent, du rateau. Je préfère encore être à la merci de l'aléatoire mais profiter pleinement de mes petits moments plutôt que d'être à la merci de l'autre, de sa vision de moi, de ma vision d'elle.
J'ai trop souffert d'avant et là, j'ai souffert parfois, mais pas autant, des souffrances que j'ai vite oublié, qui sont passées et enterrées, celles d'avant, je les portes encore et se sont elles qui me mouillent les yeux quand je dors.
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