8 octobre 2004
Fantasmes d'une vie normale.
En ce moment, dans mes rêves je fantasme une "vie normale". D'une part,
c'est totalement subjectif, car il en va de soit que ma vie hors-rêve
l'est déjà, normale. Disons que je m'invente une vie qui serait
stéréotypé et même pas utilisée comme étant celle d'un personnage de
roman de gare.
Cette "vie normale" viens des conversations avec les gens, quand ils me disent chercher l'âme soeur, trouver une maison, faire des enfants et mourrir grands-parents. Ils se posent déjà des questions sur la couleur de leurs auto, des prénoms de leurs enfants, des vacances qu'ils prendront ou pas.
Je trouve cela très ennuyeux. Même si moi-même j'ai quelques desiderata et quelques idées sur ma vie future, tel mon emploi futur ou ma géolocalisation, je ne vais pas plus loin, je ne cherche pas d'âme-soeur, encore moi de maison ou de chien. Prévoir des telles choses ne pourrais faire naître en moi que deux type de sentiments : Tout d'abord l'ennui de ne rien laisser me surprendre, cette envie de tout contrôler propre aux frustrés et aux possessifs, et enfin la déception, celle de ne pas arriver aux fins que je me serais fixé.
Pour l'instant, je compte vivre beaucoup, travailler un peu et arriver à définitivement enterrer la frustration qui me gâche pas mal de choses.
Bilan : je vis à fond(j'ai eu ma période de refermement aussi), je ne travaille pas encore, et je creuse la tombe de ma frustration, il ne me reste plus qu'a la trouver et en finir avec elle, définitivement.
Cette "vie normale" viens des conversations avec les gens, quand ils me disent chercher l'âme soeur, trouver une maison, faire des enfants et mourrir grands-parents. Ils se posent déjà des questions sur la couleur de leurs auto, des prénoms de leurs enfants, des vacances qu'ils prendront ou pas.
Je trouve cela très ennuyeux. Même si moi-même j'ai quelques desiderata et quelques idées sur ma vie future, tel mon emploi futur ou ma géolocalisation, je ne vais pas plus loin, je ne cherche pas d'âme-soeur, encore moi de maison ou de chien. Prévoir des telles choses ne pourrais faire naître en moi que deux type de sentiments : Tout d'abord l'ennui de ne rien laisser me surprendre, cette envie de tout contrôler propre aux frustrés et aux possessifs, et enfin la déception, celle de ne pas arriver aux fins que je me serais fixé.
Pour l'instant, je compte vivre beaucoup, travailler un peu et arriver à définitivement enterrer la frustration qui me gâche pas mal de choses.
Bilan : je vis à fond(j'ai eu ma période de refermement aussi), je ne travaille pas encore, et je creuse la tombe de ma frustration, il ne me reste plus qu'a la trouver et en finir avec elle, définitivement.
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