25 septembre 2004
Fantasm-a-tron
De ses doigts délicats, elle mis en place le fermoir de la deuxième
entrave. Puis elle ajusta le clapet en métal de ceux-ci à la chaîne qui
passait sous le sommier.
Elle aimait ces entraves, et lui seul encore avait accepté de les porter, il lui demandait même, d'ailleurs, n'avait-elle pas pensée à lui en les achetant?
Elle se rappela qu'au début, c'est lui qui avait amené quelque chose pour attacher ses poignets. Cela l'excitait, elle, et lui semblait apprecier de se débattre pour que ses mains tentent de la toucher.
Cette fois, une chaîne en acier remplaçait la corde et il ne pouvait plus profiter de l'élasticité de celle-ci.
Cela faisait bien une heure qu'il se calinaient, il lui avait déjà donné un orgasme, rien qu'aved sa bouche, pour cela aussi elle l'appréciait.
Bien qu'il fut attaché, il arriva à faire monter l'entrejambe de sa partenaire au niveau de sa bouche et le suça avidement.
"Doucement, lui dit-elle, attend, ne bouge pas."
Elle se retourna et se trouva face au sexe durci de son amant. Lui avait déjà recommencer à lui donner du plaisir.
Elle se concentra et mis en bouche cette chaire gonflée, aspirant avec tendresse et violence.
Bientôt, il n'arrivait plus à faire ce qu'il aimait, les vagues de plaisirs montant de son bas-ventre le faisait gémir et le perdait complètement.
Elle s'arrêta quand les gémissement se changèrent en râles, mais rien ne vînt. Elle commençait à avoir l'habitude de l'extrême endurence de cet amant.
Elle s'assit donc plus confortablement sur son visage, et il reparti de plus belle.
Elle cria une seconde fois, la vague s'étant faîte plus violente encore que la première fois.
Elle ota son sexe luisant de la bouche avide, et le posa sur celui de son partenaire.Elle fit des va-et-vient, frottant ses levres et son clitoris contre le gland turgéscent.
Elle embrassait et mordait la chaire chaude et salée de son homme, et son regard se posait souvent sur les mains qui tiraient sur les chaînes pour toucher son corps.
Quand elle cria pour la troisième fois, rien n'était venu de son partenaire, elle n'avait pas encore réussie à faire tomber ce qui dans le tête de son amant l'empéchaît littéralement d'atteindre l'orgasme.
Malgré cela, la béatitude sur les traits du garçon ainsi que ses halètements alors qu'il reprennait son souffle la satisfesait.
On approche, se disait elle, on y arrive, doucement.
A chaque rencontre, je l'envoie de plus en plus haut.
Il lui murmura :"merci".
Elle lui répondit "non, merci à toi."
(pour me prévenir de questions bateaux, oui, c'est un moment de ma vie)
Elle aimait ces entraves, et lui seul encore avait accepté de les porter, il lui demandait même, d'ailleurs, n'avait-elle pas pensée à lui en les achetant?
Elle se rappela qu'au début, c'est lui qui avait amené quelque chose pour attacher ses poignets. Cela l'excitait, elle, et lui semblait apprecier de se débattre pour que ses mains tentent de la toucher.
Cette fois, une chaîne en acier remplaçait la corde et il ne pouvait plus profiter de l'élasticité de celle-ci.
Cela faisait bien une heure qu'il se calinaient, il lui avait déjà donné un orgasme, rien qu'aved sa bouche, pour cela aussi elle l'appréciait.
Bien qu'il fut attaché, il arriva à faire monter l'entrejambe de sa partenaire au niveau de sa bouche et le suça avidement.
"Doucement, lui dit-elle, attend, ne bouge pas."
Elle se retourna et se trouva face au sexe durci de son amant. Lui avait déjà recommencer à lui donner du plaisir.
Elle se concentra et mis en bouche cette chaire gonflée, aspirant avec tendresse et violence.
Bientôt, il n'arrivait plus à faire ce qu'il aimait, les vagues de plaisirs montant de son bas-ventre le faisait gémir et le perdait complètement.
Elle s'arrêta quand les gémissement se changèrent en râles, mais rien ne vînt. Elle commençait à avoir l'habitude de l'extrême endurence de cet amant.
Elle s'assit donc plus confortablement sur son visage, et il reparti de plus belle.
Elle cria une seconde fois, la vague s'étant faîte plus violente encore que la première fois.
Elle ota son sexe luisant de la bouche avide, et le posa sur celui de son partenaire.Elle fit des va-et-vient, frottant ses levres et son clitoris contre le gland turgéscent.
Elle embrassait et mordait la chaire chaude et salée de son homme, et son regard se posait souvent sur les mains qui tiraient sur les chaînes pour toucher son corps.
Quand elle cria pour la troisième fois, rien n'était venu de son partenaire, elle n'avait pas encore réussie à faire tomber ce qui dans le tête de son amant l'empéchaît littéralement d'atteindre l'orgasme.
Malgré cela, la béatitude sur les traits du garçon ainsi que ses halètements alors qu'il reprennait son souffle la satisfesait.
On approche, se disait elle, on y arrive, doucement.
A chaque rencontre, je l'envoie de plus en plus haut.
Il lui murmura :"merci".
Elle lui répondit "non, merci à toi."
(pour me prévenir de questions bateaux, oui, c'est un moment de ma vie)
Publicité
Commentaires
T
D
S
D
S