24 septembre 2004
Just a story.
La lumière matinale passe au travers des persiennes de la fenêtre.
Allongés tous deux, les rais de lumière s'harmonisent aux courbes de
leurs deux corps mélangés par l'étreinte passionnées de la veille. Il
est sur le dos, la tête de côté, posé sur le dessus du casque d'or des
cheveux de celle qui l'accompagne. Elle est sur le ventre, la tête
posée là ou le coup et l'épaule de son amant se joignent. Son bras à
elle barre la poitrine de l'autre, la main est perdue au environs de
l'aisselle. Son bras à lui encercle les épaules de la fille, la main
agrippe avec delicatesse un sein. Sa jambe à elle et repliée et
domine les jambes de l'autre, sa cuisse posée juste au dessous de du
sexe de l'autre.
Leurs respirations est rythmée par le même soulèvement discret de leurs poitrines. Doucement, le soleil monte, et les traits de lumière voyage sur les corps étendus.
Soudain, une paupière s'agite, puis deux, puis quatre. A peine ouverte, chaque paire recherche la paire de l'autre. Leurs regards se croisent enfin.
Un sourire de dessine sur leurs deux visages, les mots se forment dans les deux gorges. "Bonjour" à l'unisson.
Les bouches se cherchent, se trouvent, et les deux âmes prolongent l'étreinte de la veille.
Neuf mois plus tard, les soucis commencèrent.
Sortez couverts.
Leurs respirations est rythmée par le même soulèvement discret de leurs poitrines. Doucement, le soleil monte, et les traits de lumière voyage sur les corps étendus.
Soudain, une paupière s'agite, puis deux, puis quatre. A peine ouverte, chaque paire recherche la paire de l'autre. Leurs regards se croisent enfin.
Un sourire de dessine sur leurs deux visages, les mots se forment dans les deux gorges. "Bonjour" à l'unisson.
Les bouches se cherchent, se trouvent, et les deux âmes prolongent l'étreinte de la veille.
Neuf mois plus tard, les soucis commencèrent.
Sortez couverts.
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