18 août 2004
Une partie de moi...
Une partie de moi tente de jouer la rationnalité. Elle me dit "tu as vu
ce que tu as appris dimanche, ça crains. Pourquoi tu te trouves pas une
petite tranquille, et tu restes pas avec elle hein?"
Je hais cette partie de moi. Ellle voudrais coûte que coûte que je m'adonne à la normalité. D'abord, c'est quoi normal? pour moi, c'est ce qui n'est pas moi. La musique, les idées même qui font ce que sont la majorité des autres, ceux par qui le markéting est fait, tout ça m'est étranger. Et pourquoi me mettre dans un moule? J'ai passé mon adolescence à briser les moules dans lesquels on à essayer de me mettre de force, j'ai fait mon propre moule, du sur mesure. Pourquoi je ne l'utiliserais pas? Ca serais bête, du gachis, une vingtaine d'années à trouver ce que l'on croît être et tout laisser tomber?
Non, très peu pour moi, j'affirme mon identité, et cette partie de moi qui veut une "normalité" stéréotypée n'a pas la parôle. Elle ne me sers que dans le monde de l'entreprise, comme un costume, pour que les personnes avec qui je travaille soit toujours surprises de voir de quoi je suis capable.
La "normalité" des médias pue, elle tue la spontanéïté qui est en chacun de nous.
Notre différence est notre atoût, les moules c'est bon pour les perdants, les vaches à lait.
Je hais cette partie de moi. Ellle voudrais coûte que coûte que je m'adonne à la normalité. D'abord, c'est quoi normal? pour moi, c'est ce qui n'est pas moi. La musique, les idées même qui font ce que sont la majorité des autres, ceux par qui le markéting est fait, tout ça m'est étranger. Et pourquoi me mettre dans un moule? J'ai passé mon adolescence à briser les moules dans lesquels on à essayer de me mettre de force, j'ai fait mon propre moule, du sur mesure. Pourquoi je ne l'utiliserais pas? Ca serais bête, du gachis, une vingtaine d'années à trouver ce que l'on croît être et tout laisser tomber?
Non, très peu pour moi, j'affirme mon identité, et cette partie de moi qui veut une "normalité" stéréotypée n'a pas la parôle. Elle ne me sers que dans le monde de l'entreprise, comme un costume, pour que les personnes avec qui je travaille soit toujours surprises de voir de quoi je suis capable.
La "normalité" des médias pue, elle tue la spontanéïté qui est en chacun de nous.
Notre différence est notre atoût, les moules c'est bon pour les perdants, les vaches à lait.
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