14 juin 2004
Oui ou non, cela deviendrais si simple.
Donc cette note est à l'attention de Mélinette.
Il y a quelques temps, je me suis retrouvé dans une posture
assez fâcheuse. Une de mes amies sentant que son couple
partait à la dérive, m'avait demandé un entretien car, selon
ses dire, je sais écouter et consoler.
Cette amie, refusant un rendez-vous dans un endroit neutre,
sans repères pour aucun de nous, décide de passer chez
moi pour cette discussion. Elle me raconte son histoire,
je ne la jugeât pas, je n'ai aucun droit de juger qui que
ce soit, puis elle m'avoue qu'avant d'être avec son ami,
elle avait longtemps hésité pour moi, mais comme
je ne montrais guère réceptif (en apparence)
et préféra mon pote.
Cette conversation se passait dans ma chambre,
première erreur de ma part. Elle était installée
sur mon lit, moi sur mon siège de bureau.
A un moment ou elle se sent faillir, elle me demande
de venir m'installer à ses côté, car elle trouve que
la distance que j'avait mis entre nous rendait hermétique
toute communication. Je me rapprochait, deuxième
erreur de ma part.
Puis, voilà qu'elle s'accroche à moi, pose sa tête
sur mon épaule et pleure, des larmes chaudes
et mouillées. Je me suis laissé attendrir,
troisième erreur de ma part.
Elle commence ensuite à jouer à un jeu où frôlements
et mains baladeuses sont de mise,je craque mais dès
que mes mains deviennent trop entreprenantes, elle
se retire, mettant mon corps à vif. Elle le sent,
et soupirant comme dans les romans, commence
à caresser ma masculinité.
Devant ses jeux où elle ne semblait ne pas se décider
à faire quoi que se soit, j'ai pris une décision.
Je le regarde droit dans les yeux, je me met hors
de porté de ses mains, et je lui demande d'à peu
près cette manière : « Voilà, tu me chauffes depuis
tout à l'heure, j'en peut plus, et je n'ai qu'une envie,
c'est de te faire un cunnilingus. Je vais te poser
une question, tu n'auras qu'a répondre par oui
ou par non, mais on auras réglé la question
et on s'en tiendra là. Tu veux un cunni, oui ou non ».
Elle commence alors à tergiverser, je reprends
donc ma plaidoirie « Si tu dis oui, je le fait et après
on arrête, mais si je le fait j'irais jusqu'au bout,
si tu dis non, j'arrête de ma laisser faire et fini
le flirt, je regagne mon siège et on fini cette
discussion en gens de bonne compagnie ».
Je vous laisse libre de deviner sa réponse,
j'en ai trop dis en une seule note.
Il y a quelques temps, je me suis retrouvé dans une posture
assez fâcheuse. Une de mes amies sentant que son couple
partait à la dérive, m'avait demandé un entretien car, selon
ses dire, je sais écouter et consoler.
Cette amie, refusant un rendez-vous dans un endroit neutre,
sans repères pour aucun de nous, décide de passer chez
moi pour cette discussion. Elle me raconte son histoire,
je ne la jugeât pas, je n'ai aucun droit de juger qui que
ce soit, puis elle m'avoue qu'avant d'être avec son ami,
elle avait longtemps hésité pour moi, mais comme
je ne montrais guère réceptif (en apparence)
et préféra mon pote.
Cette conversation se passait dans ma chambre,
première erreur de ma part. Elle était installée
sur mon lit, moi sur mon siège de bureau.
A un moment ou elle se sent faillir, elle me demande
de venir m'installer à ses côté, car elle trouve que
la distance que j'avait mis entre nous rendait hermétique
toute communication. Je me rapprochait, deuxième
erreur de ma part.
Puis, voilà qu'elle s'accroche à moi, pose sa tête
sur mon épaule et pleure, des larmes chaudes
et mouillées. Je me suis laissé attendrir,
troisième erreur de ma part.
Elle commence ensuite à jouer à un jeu où frôlements
et mains baladeuses sont de mise,je craque mais dès
que mes mains deviennent trop entreprenantes, elle
se retire, mettant mon corps à vif. Elle le sent,
et soupirant comme dans les romans, commence
à caresser ma masculinité.
Devant ses jeux où elle ne semblait ne pas se décider
à faire quoi que se soit, j'ai pris une décision.
Je le regarde droit dans les yeux, je me met hors
de porté de ses mains, et je lui demande d'à peu
près cette manière : « Voilà, tu me chauffes depuis
tout à l'heure, j'en peut plus, et je n'ai qu'une envie,
c'est de te faire un cunnilingus. Je vais te poser
une question, tu n'auras qu'a répondre par oui
ou par non, mais on auras réglé la question
et on s'en tiendra là. Tu veux un cunni, oui ou non ».
Elle commence alors à tergiverser, je reprends
donc ma plaidoirie « Si tu dis oui, je le fait et après
on arrête, mais si je le fait j'irais jusqu'au bout,
si tu dis non, j'arrête de ma laisser faire et fini
le flirt, je regagne mon siège et on fini cette
discussion en gens de bonne compagnie ».
Je vous laisse libre de deviner sa réponse,
j'en ai trop dis en une seule note.
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Commentaires
M
M
D
D
D